Si pour ma part j’ai adoré ma lecture cubaine en compagnie de Zoé Valdés, voici différentes critiques de lectures cubaines par les participants au Challenge Destination:

  •   Aproposdelivres nous fait découvrir Pedro Juan Guttiérez avec Le nid de serpent: « Mais plus le livre avance et on comprend que cela n’est pas gratuit… En effet pour Pedro Juan, le s* c’est l’ultime espace de liberté qui lui reste dans ce pays étouffé par le régime de Castro.
    Mise à part cela, ce livre est très intéressant pour connaître la vie des Cubains à cette époque. Pedro Juan est vraiment attachant et surprenant. » Vous pouvez lire le reste de sa critique par ici et en découvrir plus sur Cuba avec un petit carnet de voyage.
  • Mimi a choisi la biographie de Reinaldo Arenas, Avant la nuit, qui l’a beaucoup marquée: « Mon voyage à Cuba ne m’emportera ni vers les plages, ni vers l’exotisme insouciant qui peut occuper le touriste en mal de soleil et de chaleur .Bien au contraire, il me catapultera au cœur de la dictature exercée par un homme depuis des années sur une population à bout de souffle.
    Reinaldo Arenas, fait partie de ces écrivains cubains qui ont écrit la révolte, le rejet de ce régime, et qui en ont payé le prix fort. » Pour lire la suite de son article : par Ici!
  • Mon angeMimi a décidé de ne pas en rester là et s’est penché en plus sur Mon ange, de Guillermo Rosales, un autre « écrivain qui a écrit Cuba », comme elle le dit elle-même: « Avec une écriture incisive, sans décorations inutiles, brute, en peu de pages, Rosales réussi à montrer la misère humaine ; une misère physique, et intellectuelle. » N’hésitez pas à lire la suite de sa critique par ici!

 

  • passé parfait  Paikanne même si elle a été déçue, nous fait découvrir un roman policier de Leonardo Padura: « Ce fut une déception. J’avais choisi un policier en espérant du suspense et l’envie (incontrôlable) de tourner les pages. Ce ne fut pas le cas, ou plus exactement, j’ai enclenché le turbo dans le dernier tiers afin d’en terminer le plus rapidement possible et passer à autre chose. » Pour lire pourquoi cet ouvrage ne lui a pas plu, c’est par ici!
  • Véro a elle aussi choisi Passé parfait et a pour sa part apprécier le livre: « Le fil de l’enquête devient alors aussi le prétexte pour Leonardo Padura d’évoquer à travers les souvenirs de son personnage La Havane des années 70 et de faire, par touches délicates, une remise en cause du régime politique. Ceci explique sans doute pourquoi certains livres de Leonardo Padura ont été censuré à Cuba. » Pour sa critique, c’est par ici!
  • cher premier amour  Pomm a comme moi choisi Zoé Valdés avec Cher premier amour: « Donc déjà, la tolérance est un thème centrale, tout comme le respect de la nature. A travers les légendes cubaines, on voyage dans le temps et dans la forêt grâce à la Ceiba, un arme millénaire.  » Pour lire la suite de son article, c’est par !

 

  • tropique des silences  Frankie s’est lancée dans la lecture de Tropiques des silences de Karla Suarez: « Il se dégage de son récit un charme indéniable qui rend le roman très attachant. Je dois dire qu’au fil des pages, j’ai de plus en plus aimé son histoire, même si, on le sent, tout n’est jamais très facile pour elle qui a l’air détachée, parfois lointaine… » Pour lire la suite de son article et pourquoi elle est si enthousiaste, c’est par !

 

  • miracle a miami  Lynnae a elle aussi choisi Zoé Valdés avec Miracle à Miami: « C’est une lecture un peu bizarre que celle-ci, pour le Challenge Destination Cuba d’Evert. Je ne l’ai pas vraiment appréciée, même s’il m’est arrivé de rire à certains passages. Elle est plutôt étourdissante, dans le sens où ce livre fait tourner la tête avec toutes les références, les marques, les surnoms, tous les personnages. C’est presque une surenchère de détails, de descriptions. » Pour lire pourquoi elle reste si perplexe, c’est par ici!
  • trilogie sale de la havane  Julien le naufragé nous présente La trilogie sale de la Havane : «  »La Trilogie sale de La Havane » est un ensemble de textes, de nouvelles même, écrites par Pedro Juan Gutiérrez sur sa vie, sa survie, ses malheurs, ses réflexions et toutes ses conquêtes sexuelles. Car pour ce qui est du sexe Gutiérrez aime parler de long en large du tout ce qui touche au cul. S’étendant sur ses prouesses diverses, le foutre répandus ici et là, les branlettes en pleine rue, les cavaleuses baisées ici ou là, des voisines lubriques et autres voisins portées sur la chose. » Pour lire son article, par ici !
  • mère cuba  Rose a lu Mère Cuba de Wendy Guerra: « On est confronté à l’exil des élites/artistes, qui ne se retrouvent plus dans cet idéal, à la pauvreté, aux coupures de courant, d’eau potable, à une vision de Cuba et de La Havane, à travers les yeux de la narratrice, très différente de celle que l’on peut avoir. » Pour lire son article, c’est par ici!

Et vous, connaissez-vous la littérature Cubaine? Êtes-vous inspirés par toutes ces lectures?

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