Alors que notre nouvelle étape du Challenge de lecture Destination (Cuba le 15 octobre, n’oubliez pas de vous inscrire!) approche à grand pas, je vous propose un petit flash-back de nos précédentes éditions pour retrouver les lectures de mes amis blogueurs sur différents pays. Commençons par quelques lectures colombiennes qui ont égayé notre printemps 2011. Livres d’auteurs colombins, histoires se passant en Colombie, littérature jeunesse, polar, nouvelles… il y en a pour tous les goûts pour découvrir la Colombie. Lancez-vous et évadez-vous par la lecture!

  • Perdre est une question de méthode  Scor13 nous fait découvrir le premier roman de Santiago Gamboa: « Victor Silanpa est détective,  journaliste à ses heures, un brin escroc et franchement désabusé. Un matin brumeux, la découverte d’un cadavre crucifié et empalé sur les rives du Sisga ranime sa soif de justice. Aidé de Quica, une jeune prostituée qui le tient sous son charme, il enquête dans les bas-fonds de Bogota, allant jusqu’à déjouer la machination de puissants politiciens véreux….  » Lisez son billet par là-bas!
  • Frankie vous présente elle-aussi le roman Perdre est une question de méthode: « Noire, l’humeur de Silanpa la plupart du temps, noire l’enquête qu’il mène, noirs les bas-fonds glauques dans lesquels il traîne ses guêtres. Tous, gentils comme méchants, ont l’air de traîner des casseroles de spleen et si vous avez envie de rigoler après avoir lu ce livre, c’est que vous avez un moral de Bisounours ! » Pour lire son article, par là-bas!
  •   Lynnae nous propose de découvrir un livre du fameux Gabriel Garcia Marquez, De l’amour et autres démons: « Cette Colombie a des accents fortement espagnols, terrassée par la chaleur et la religion, une religion dure qui m’a fortement rappelé les beaux jours de l’Inquisition. » Pour lire la suite de son article, un petit clic par ici!


  • Nanet s’est aussi laisser convaincre par Gabriel Garcia Marquez: « Tout ce petit monde aime ! mais l’amour est parfois démoniaque… et pour chacun l’auteur va donner une vision bien spécifique de cet amour que ce soit de façon spirituelle ou tout simplement pour les plaisir du corps… C’est talentueux, c’est drôle, c’est riche mais être pompeux. C’est un petit bijou! » Pour son billet, un petit clic!
  • Même le silence a une fin  Mimi54 nous fait découvrir le témoignage d’Ingrid Bétancourt : « J’ai abordé ce livre avec devant les yeux deux images, l’une d’Ingrid Betancourt que le piéton nancéen ne pouvait ne pas voir tant son visage était omniprésent à l’hôtel de ville, l’autre d’une femme recouvrant la liberté et se signant à même le sol. Les deux images ne m’ont pas quittée tout au long des 700 pages. Je sais encore précisément où et avec qui j’étais, et qui me l’annoncé lorsqu’elle fut, enfin libérée. En rentrant chez moi, vite, pour voir, je me suis dit tout au long du trajet, et moi, qu’aurais-je fait, aurais-je supporté 6 ans et demi de captivité, moi pour qui le mot liberté est le plus beau mot qui puisse exister ? » Pour lire le reste de la critique de Mimi54, par ici!

 

  •   Vero vous présente Les Oreilles du Loup d’Antonio Ungar : « L’histoire est celle d’un petit garçon de cinq ans et de sa perception de la séparation de ses parents, du manque de son père qui pèse sur lui. Trimballé de droite et de gauche, auprès d’une mère qui, dans un premier temps peine à reprendre le dessus (partie intitulée « les jours sombes ») avant de se ressaisir (ce seront « les jours clairs »), nous suivons les tribulations de l’enfant et du regard qu’il pose sur les adultes. » Pour lire la suite de la critique de Véro, par ici!

 

  •   Bambi_slaughter nous fait découvrir un roman noir de Jorge Franco Ramos: « La fille aux ciseaux tourne autour du classique triangle amoureux. Antonio et Emilio sont meilleurs amis depuis l’enfance. Tous les deux sont amoureux de Rosario mais c’est avec Emilio qu’elle passe ses nuits et c’est avec Antonio qu’elle se confie pendant des heures. Et si je vous disais qu’Emilio est celui des deux qui plait le plus aux filles et qu’Antonio a pour habitude de « ramasser » la meilleure amie des petites-amies d’Emilio ? Vous me direz que c’est le shéma traditionnel du triangle amoureux. Toutefois, ici, la fille est une tueuse qui embrasse ses victimes avant de les tuer. » Pour lire sa critique, c’est par ici!

 

  • Lexounet a aussi lu La fille au ciseaux: « Jorge Franco nous entraine dans cette Colombie connue pour son trafic de drogue. Il nous confronte à cette dure réalité qu’est l’addiction. Une réalité dans laquelle il faut survivre contrebalancée par le plaisir de détruire et se détruire en passant des journées entières à se droguer… » Pour lire la suite de son article, c’est par ici!

 

  •   Iluze vous fait découvrir la littérature jeunesse colombine:  » Nous avons donc affaire ici à un roman jeunesse un peu naïf nous racontant le quotidien d’un petit colombien. Remarquons tout de même les chouettes illustrations de Pierre Mornet qui parsèment le roman. Son style très particulier m’a tout de suite accroché le regard. » Pour lire son article, c’est par là!

 

 

  •   Flof13 nous présente l’émouvant Enfant qui savait tuer: « L’enfant qui savait tuer, c’est Shorty, un gamin pas très grand, qui a fait des choix, guidé par l’amitié et par l’amour. Il raconte sa propre histoire, avec des mots simples et pourtant chargés d’émotions, de force, de vie tout bonnement. Sonny/Shorty est d’une lucidité absolue, à chaque moment. Il sait ce qu’il fait, pourquoi il le fait. » Pour lire le billet en entier, c’est par ici!

 

 

  • necropolis_1209  Guillome vous fait aussi découvrir Santiago Gamboa: « Cet écrivain colombien s’autorise absolument tout, nous fait croire l’impensable avec une facilité déconcertante. Le lecteur passe son temps à rire et à écarquiller les yeux devant une telle prouesse littéraire ! C’est jubilatoire et génialissime. » Pour la totalité de son billet, c’est par ici!

 

 

  • des-yeux-de-chien-bleu_couv  Touloulou vous présente des nouvelles de Gabriel Garcia Marquez: « Visiblement, les thèmes de la mort et de la relation entre corps charnel et esprit préoccupent Garcia Marquez, mais le fait que les nouvelles soient toutes aussi semblables m’a dérangée. Cela va jusqu’à des détails insignifiants : dans plusieurs nouvelles, la personne allongée entend le bruit d’un grillon, pense à la décomposition de son corps dans l’argile de la terre… on a l’impression que c’est la même histoire qui se répète indéfiniment, avec des variantes. » Pour lire sa critique, c’est par là!

Alors inspirés? D’autres recommandations de lecture colombine?

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