Apprendre le Japonais en immersion à Tokyo au Japon

Deux semaines à apprendre le japonais en immersion à Tokyo: bilan complet

Apprendre le japonais en immersion à Tokyo

Comme je vous l’avais mentionné, j’ai profité de mon PVT au Japon et de mon année ici pour me lancer dans l’apprentissage du japonais. Apprendre une langue en immersion est selon moi la meilleure, si ce n’est la seule, manière d’apprendre une langue. Apprendre une langue en tant qu’adulte est également plus facile que lorsque l’on est enfant. Après mon séjour linguistique au Japon de deux semaines en immersion, il et temps de faire le bilan complet de ce séjour, de voir ce qui a fonctionné ou pas, pour continuer mon apprentissage du japonais sur de bonnes bases. Apprendre le Japonais en immersion à Tokyo: bon plan ou flop?

J’ai testé pour vous le séjour linguistique EF à Tokyo en famille d’accueil pendant deux semaines. Voici le bilan objectif sans tabou, avec le bon et le moins bon. Merci de prendre en compte que je suis une étudiante un peu étrange, qui sort des standards des étudiants habituels.

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Apprendre le Japonais en immersion à Tokyo au Japon

Le logement en famille lors d’un séjour linguistique à Tokyo

Il n’y a pas de mystère, la meilleure manière d’apprendre une langue est d’être en immersion totale. Loger dans une famille d’accueil devient alors la solution la plus intéressante. Cela permet de parler japonais tous les jours, de vivre au quotidien avec une famille et d’en apprendre plus sur la culture du pays.

J’avais beaucoup d’appréhensions avant d’emménager, car je me souviens de mes mauvaises expériences à Londres et je ne compte plus les histoires d’horreur que l’on m’a racontées. Par ailleurs, je vis seule depuis près de 15 ans, je suis très indépendante et j’ai beaucoup de mal à m’adapter à une routine et des horaires fixes depuis que je voyage. Pour un adulte indépendant qui vit hors d’un contexte familial, c’est plutôt difficile de s’adapter à un rythme familial, à des horaires, des règles, des couvres-feus, etc.

Le rythme de la vie en famille d’accueil à Tokyo

Je ne vais pas vous le cacher, cela a été difficile. Je me suis pliée aux horaires et aux règles, mais j’ai demandé à ne pas avoir de couvre-feu… à 30 ans cela me paraissait aberrant. Devoir rentrer pour dîner à 19h30, petit-déjeuner à 10h le week-end, devoir prévenir de mes plans au moins 24h à l’avance, devoir dire où je suis à ma famille d’accueil et rendre des comptes ne m’a pas plu du tout. J’aime ma vie spontanée et indépendante et justement de ne devoir rendre de comptes à personne, j’aime ne pas planifier ma vie et de décider sur le moment. Ne pas pouvoir manger quand je voulais, a également cassé mon rythme de travail (que ce soit l’étude du Japonais ou mon travail normal) et je n’ai franchement pas pu beaucoup travailler. Là encore, cela a été difficile à cause de mon habitude à travailler de manière indépendante à la maison et d’organiser ma vie autour de cela. Cela a été la partie compliquée pour moi, mais sur deux semaines, j’ai pu m’adapter. Mes colocs semblaient tout à fait satisfaites avec ce système et aimaient cette structure. Votre choix dépendra donc de votre personnalité et de la durée de votre séjour.

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La nourriture en famille d’accueil

Une fois encore, la situation était compliquée, puisque je ne mange plus de viande, que je suis pesco-végétarienne depuis trois mois et que j’ai un régime alimentaire différent depuis près d’un an et que tout cela est très important pour moi pour des raisons de santé. J’ai décidé d’abandonner mon régime alimentaire habituel (pas de produits industriels, riz et pâtes complets, grosse base de fruits et légumes) trop compliqué, mais d’expliquer que je ne mangeais pas de viande. J’ai prévenu EF lorsque je me suis inscrite et j’ai reçu un email de l’équipe pour me demander des précisions et bien expliquer à la famille avant que j’arrive. La famille m’a également posé des questions quand je suis arrivée et cela n’a pa posé de problèmes. Nous avons mangé beaucoup de poissons et de crustacés et la nourriture était très bonne. Comme souvent lorsque l’on est végétarien, on se retrouve avec de trop petites portions (les gens pensent que l’on est au régime), et j’ai donc souvent eu faim, mais globalement les portions sont petites au Japon. Il y a eu un ou deux repas, où ça n’allait pas du tout: un mini bol de salade et un mini-bol de riz / ou un hot-dog sans rien pour remplacer la saucisse au petit-déjeuner, mais d’autres fois où j’ai beaucoup mangé, donc j’étais plutôt satisfaite.

La vie quotidienne en famille d’accueil à Tokyo

Je vivais à Mitaka, en banlieue ouest de Tokyo. C’est une zone plutôt agréable, avec pas mal de petites boutiques et restaurants au centre-ville, et cela permet de goûter à la vie traditionnelle japonaise et de voir ce qu’il en est vraiment. J’étais assez loin de la station de train, ce qui donnait une heure de trajet depuis la maison à l’école, ce qui est beaucoup selon moi, n’ayant jamais eu de commute aussi long, même à Londres. Toutefois, l’école garantit que vous n’aurez jamais plus d’une heure de trajet, ce qui n’est finalement pas si mal pour une ville comme Tokyo.

J’ai atterri dans une famille russo-japonaise, avec trois enfants, deux petits et une adolescente. La famille était vraiment adorable et j’ai beaucoup discuté avec Tatiana, la maman d’origine russe. J’espère que je pourrais les revoir quand je retournerais à Tokyo. Nous nous sommes très bien entendus et les deux semaines sont passées à vitesse grand V. J’ai cependant trouvé qu’il n’y avait pas assez d’interactions. En dehors des repas, nous ne voyions pas la famille et nous n’avons fait aucune activité, sortie au parc ou autre ensemble, en dehors de mon repas d’adieu. EF spécifie bien que nous ne devons pas en attendre, mais c’est pour moi quelque chose d’important. Je sais aussi que deux semaines, c’est court, mais en 4 jours de Couchsurfing en famille, j’interagis beaucoup plus avec les enfants et parents.

J’avais une très grande chambre confortable, avec un lit avec matelas chauffant, un bureau et des étagères, une penderie, un bon chauffage et j’étais très bien installée. C’était parfait pour étudier et se reposer. Je partageais une bonne salle de bain avec deux autres étudiantes au premier étage. L’espace était séparé du reste de la maison et c’est donc pour cela que nous avions moins d’interactions. Au début, je n’étais pas non plus très contente de me retrouver avec deux autres étudiantes, car l’immersion est bien moins efficace ainsi. Au final, cela a été le contraire, car j’ai profité de leur bon niveau de Japonais pour écouter ce qu’elles disaient pendant les repas, assimiler et répliquer le lendemain. Je pense d’ailleurs que leur présence a été une des clés de ma progression, puisqu’elles utilisaient automatiquement un Japonais facile à comprendre pour moi. Tatiana, la maman, parlait aussi de manière très claire et faisait des efforts pour reformuler ses phrases et que je comprenne. La meilleure manière d’apprendre!

Au final, je suis convaincue que mon séjour en famille est une des clés de la réussite de ces deux semaines de cours.

Les cours de japonais lors d’un séjour linguistique avec EF

L’organisation des cours

L’organisation des cours a vraiment été pour moi le point noir de ce séjour linguistique à Tokyo. Je pense que c’est dû à une question de dates et beaucoup d’éléments externes, mais qu’également l’école n’est pas encore au point pour les séjours linguistiques de courte durée.

La journée d’orientation est une journée inutile et gâchée selon moi, surtout lorsque l’on vient pour deux ou trois semaines et que l’on est plus âgé ou adulte. Durant cette journée, je n’ai absolument rien appris et j’ai passé mon temps à attendre et à bâiller aux corneilles. J’aurais préféré être mise dans une classe directement, au lieu d’écouter de longs discours sur l’interdiction de boire de l’alcool avant 20 ans, sur le respect ou une visite guidée pour nous montrer les stations de métro ou la poste. Un voyageur averti peut se débrouiller seul ou sinon poser des questions. Lors des heures de présentation, nous avons également perdu beaucoup de temps à attendre: chaque sujet de présentation était divisé et devait commencer à une heure précise; même si nous étions tous là, nous ne pouvions pas commencer avant l’heure (la ponctualité japonaise poussée à l’absurde) et je pense qu’en tout nous avons attendu plus d’une heure, dans une salle, assis.

Je suis arrivée lors de la rentrée de janvier et nous étions nombreux, très nombreux (plus nombreux qu’en été) et cela a donc été un chaos constant. Il y avait trop d’étudiants dans de nombreuses classes et les niveaux semblaient parfois être mis en place en fonction du nombre d’étudiants. Beaucoup se retrouvaient dans des niveaux trop difficiles ou trop faciles, pour des questions de nombre et de mauvaise organisation.

Apprendre le japonais en immersion à Tokyo au Japon

Je me suis donc retrouvée en A2 avancé lors de mon premier jour de cours, le mardi. Pourquoi? Parce que sur mon test fait au préalable, j’avais écrit que j’avais étudié le japonais pendant 3 ans (il y a 12 ans), parce que je comprends bien et que je sais aligner trois mots. Sauf qu’au test écrit, je n’avais pu répondre à quasiment aucune question et cela aurait dû être pris en compte. J’ai passé une heure dans cette classe, complètement paumée. Je suis donc repartie en A1, débutant intermédiaire. Il m’a fallut quelques heures pour me remettre à niveau et ce niveau était ensuite beaucoup trop facile. J’ai tout de même pris la semaine pour rattraper mon retard, histoire de ne pas être à nouveau paumée en classe et j’ai demandé à faire un changement au niveau supérieur, A1-3, le niveau débutant avancé. La deuxième semaine, j’ai donc testé cette classe, absolument parfaite pour moi et je me suis demandée pourquoi je n’y avais pas été directement placée. Sauf que le mardi de la deuxième semaine, lorsque j’ai voulu reprendre ma place dans cette classe, on s’est retrouvés à 25, et moi et trois nouveaux avons été « virés » de la classe pour ce jour-là. Ouch, j’y étais si bien! Un prof d’urgence qui ne savait pas où on en était a fait le remplacement pour un cours privé (qui était d’ailleurs très chouette) et j’ai pu réintégré ma classe le mercredi, mais nous n’avions pas étudié la même chose, ni fait les devoirs et encore une fois, j’ai eu l’impression d’avoir perdu du temps précieux!

En plus des cours généraux, nous pouvons choisir différents cours, en fonction des disponibilités. Je n’ai pas eu tout ce que je voulais, mais une majorité de mes choix et c’est déjà très bien. Le cours de vocabulaire avait lieu deux fois par semaine: je me suis d’abord retrouvé en niveau 3, où je n’ai rien compris et j’ai perdue une semaine, avant d’être placée en niveau niveau 2 la semaine suivante, pour un cours bien plus adapté. Le cours de Kanji, niveau débutant (car j’avais tout oublié), était un de mes cours préféré: je n’ai pas eu besoin de changer de classe et j’ai beaucoup appris en deux semaines. Le cours de calligraphie était culturel et récréationnel et même si nous étions trop nombreux, j’ai pu apprendre pas mal de choses et j’aurais continué avec plaisir. Le cours culturel était mon cours préféré. J’ai atterri en niveau 3 et c’était parfait, tout simplement car j’ai une bonne compréhension et que je sais apprendre en contextualisant. Il s’agissait discuter autour d’une thématique culturelle et c’est selon moi la meilleure manière d’apprendre.

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Les cours de japonais chez EF

Même s’il y a eu beaucoup de changements et que les premiers jours on été difficile, je suis parvenue a trouvé mon équilibre et à réussir à apprendre. Les cours sont globalement très bons, en fonction des professeurs. Les cours généraux et de Kanji sont très biens et se basent sur des manuels donnés par l’école. Il y a des devoirs, des tests et des présentations chaque semaine. Les exercices sont variés et les cours intensifs permettent d’apprendre, d’assimiler et d’appliquer rapidement. Les cours culturels (calligraphie et culture) sont passionnants et permettent vraiment de s’imprégner dans la culture japonaise. Les cours de vocabulaire étaient pour moi les cours les plus ennuyeux du monde: j’ai l’impression d’avoir globalement appris du vocabulaire inutile et que ces cours auraient pu être plus vivants.

L’apprentissage est globalement vivant et oral et l’on fait de nombreux exercices en petit groupe, en individuel ou à deux. Les professeurs encouragent la prise de parole, les exposés et le fait que cela soit une langue vivante. Par contre, cela reste un apprentissage très scolaire, autour de thématiques scolaires ou jeunes (uniforme, école, université, manga…), ce qui peut être assez frustrant pour les adultes.

Les locaux et la vie sociale chez EF

EF, ce n’est pas que les cours. Les cours de Japonais sont donnés à Shibuya et j’ai vraiment apprécié être ainsi au cœur de l’action pendant deux semaines, sortir déjeuner en ville et me balader dans le quartier pendant des heures. Traverser tous les jours le passage piéton de Shibuya, comme les locaux et non comme les touristes, c’est quand même bien chouette! Situé au 27e étage, la vue depuis l’école est incroyable. Le matin, par beau temps, l’on pouvait voir le Mont Fuji et les couchers de soleil étaient fabuleux. Les locaux sont modernes et agréables et le salon entouré de fenêtres est un très bel endroit pour déjeuner, se reposer, discuter avec ses amis ou étudier.

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EF, c’est aussi une communauté et une vie sociale. Les professeurs sont très sympathiques et à l’écoute et je ne doute pas que des liens forts se créent au fil des semaines. Il y a également un site Internet jeune, moderne, pratique avec un forum pour suivre l’actualité de l’école, sa progression dans les cours ou prendre contact avec d’autres étudiants (et ce même avant de partir!). De nombreuses activités et sorties sont organisées chaque semaine, en fonction de vos goûts: randonnée, café, sport, voyage, activités culturelles, cinéma, sumo… seule votre imagination est votre limite! Je n’ai pas participé à ces activités, car je préfère explorer par moi-même plutôt qu’en grand groupe et car certains activités coûtent parfois plus cher en groupe que seuls. Le responsable des sorties était très sympathique et m’a aidé à trouver des restaurants végétariens à Shibuya.

J’ai beaucoup aimé interagir avec les autres étudiants, venant du monde entier. C’est une école très multiculturelle et je me suis fait de bons amis. Tous les jours, je parlais Français, Anglais, Espagnol et Japonais et il n’y a pas beaucoup de lieux où l’on peut faire cela!!! Une école à mon image!

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Les petits trucs en +

  • Une procédure d’inscription rapide, claire, efficace et personnalisée avec la possibilité de poser des questions par email.
  • Un site Internet bien fait pour discuter avec les autres étudiants, suivre sa progression ou même découvrir l’actualité de l’école.
  • La sensation de faire partie d’une belle et grande famille internationale
  • La cérémonie de diplôme… j’avais toujours rêvé de porter ce chapeau!

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Mon bilan linguistique après deux semaines en immersion

Malgré tous les couacs, j’ai atteins mon objectif, celui de réactiver mon japonais et de relancer mon apprentissage sur de bonnes bases. J’ai fait des progrès assez étonnants et fulgurants et je m’en rendais compte chaque jour en discutant avec ma famille d’accueil, en lisant des mots dans la rue, en gérant des conversations au restaurant, à l’hôtel et même au téléphone, en comprenant de plus en plus de choses autour de moi et en me passionnant à nouveau pour l’apprentissage de cette langue. C’était exactement ce que je voulais et j’ai réussi sans souci, en m’investissant dans mon apprentissage, en étant une élève sérieuse et en profitant au maximum des différents cours offerts. Si c’était à refaire, je n’hésiterais pas une seconde. Aujourd’hui, je suis en train de voyager au Japon et j’utilise le choses apprises tous les jours, vu que peu de monde parle anglais. Je compte continuer mon apprentissage par moi-même, même si c’est beaucoup plus compliqué, par le biais d’applications, de sites et d’immersion quotidienne.

Je ne suis plus sûre aujourd’hui qu’apprendre le japonais sans cours soit si facile que cela, à l’inverse de l’espagnol, car c’est une langue plus compliquée et il m’est moins facile de parler avec des gens dans la rue qu’en Amérique du Sud pour faire des progrès. Il faudra peut-être que je reprenne des cours, car je manque vraiment de discipline dans mon apprentissage individuel… à suivre!

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Conclusion sur les séjours linguistiques EF au Japon

Si les séjours linguistiques EF au Japon sont parfaits pour les adolescents, jeunes adultes ou voyageurs novices, je pense que certains ajustements devraient être faits pour les adultes qui viennent en court séjour. Un programme dédié, un suivi plus personnel, avec par exemple un entretien poussé pour déterminer le vrai niveau d’une personne et ses objectifs exacts pour que la personne puisse vraiment atteindre ses objectifs (cet entretien existe pour les étudiants de longue durée) et des cours de conversation plus nombreux seraient peut-être plus appropriés.

Quoiqu’il en soit, deux ou trois semaines de cours peuvent être très bénéfiques en fonction de vos objectifs: remise à niveau, cours pour débuter, cours avancé, etc. Je suis tout à fait consciente d’avoir été un cas un peu OVNI et que cela n’a pas facilité mon placement dans une classe (capacité d’apprentissage et d’assimilation très rapide, bon niveau de compréhension, capacité à converser sans connaître beaucoup de mots, oubli de toute ma grammaire malgré trois ans de cours…). Je sais qu’ils n’avaient pas la tâche facile avec une élève comme moi et j’ai réussi à trouver mon équilibre lors de la deuxième semaine de cours. Je pense en fait que trois ou quatre semaines aurait été parfaites pour moi.

Déterminer vos objectifs, cernez bien votre vrai niveau, travaillez à fond, profitez de l’expérience, ne soyez pas timides et il y a de fortes chances que votre apprentissage en immersion sera le voyage d’une vie, que ce soit au Japon ou dans le monde entier.

Alors prêts pour l’expérience d’un séjour linguistique au Japon?

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J’ai été invitée par EF pour tester leurs cours de Japonais et le programme d’apprentissage du japonais en immersion à Tokyo. Cependant, toutes opinions et photographies me sont propres.


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Apprendre le Japonais en immersion à Tokyo: deux semaines de cours avec EF, le bilan complet

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