C’est le fruit du hasard et de la spontanéité qui m’ont ramenée dans la capitale écossaise il y a quelques semaines, pour visiter Edimbourg en hiver, une fois de plus. Mon premier voyage à Edimbourg datait d’octobre 2010, alors que je commençais tout juste mon stage à Londres. Octobre a beau être en automne… sous ces latitudes, c’est tout de même un climat plutôt froid et hivernal que l’on y découvre! Quoiqu’il en soit, au-delà des clichés et des préjugés, j’ai eu une très belle météo et de belles journées froides et ensoleillées, cette fois-ci et la fois d’avant. Ce n’est donc pas une si mauvaise idée que de venir visiter Edimbourg en octobre ou en février!
Même si j’avais apprécié ma première visite d’Edimbourg, cela n’avait pas non plus été un coup de coeur et je lui avais préféré sa voisine, Glasgow. Plus edgy, plus populaire, moins bourgeoise, plus difficilement abordable et moins touristique, Glasgow m’avait conquise, même sous la pluie. Huit ans plus tard donc, terminant mon housesitting à York, j’avais quelques jours de battement, avant de prendre un vol pour la Suisse et mon prochain housesitting. Plutôt que de retourner à Londres, comme d’habitude, j’ai décidé de retourner à Edimbourg, de voir quelques amies et d’en profiter pour faire du tourisme. Bien m’en a pris, car si le coup de foudre n’avait pas eu lieu à la première rencontre, notre deuxième rencontre a été toute autre.
De Whitby, une petite station balnéaire sur la côte anglaise, ce n’est pas moins de trois changements que je fois faire pour atteindre Edimbourg. Par la fenêtre du train, je découvre la campagne profonde anglaise, des trains vieillots et une nature sauvage et préservée. Alors que l’on passe la frontière à Berwick-Upon-Tweed, une ville au nom complètement rocambolesque, l’on aperçoit la mer et je ne peux m’empêcher de sortir le premier tome d’Harry Potter sur mon Kindle. Bienvenue en Ecosse, bienvenue dans un monde de poésie et de magie, d’histoire et de légendes.
Un long week-end à Edimbourg: visiter Edimbourg en mode slow travel
En relisant les quelques lignes de mon carnet de voyage de 2010, je vois que j’ai bien changé et que ma manière de voyager a elle aussi évolué. Stagiaire sans le sou, je ne pouvais pas vraiment visiter tous les « lieux incontournables », mais dans mon écriture et ma description, l’on ressent tout de même une fébrilité, une impatience, une envie de tout faire et de tout voir en deux jours, comme l’envie de cocher toutes les cases de choses à faire.
Cette fois-ci, j’ai 3 jours et demi devant moi, mais je n’ai plus 20 ans, ni l’envie de courir dans tous les sens pour tout voir. Ces trois jours sont mes vacances entre deux housesitting, un petit week-end impromptu et je ne veux pas me mettre la pression. Je veux juste profiter, découvrir l’ambiance de la ville, m’imprégner de son atmosphère et voir de belles choses.
Qui a dit que l’on ne pouvait pas faire du slow travel, du voyage lent, quand on a peu de temps et juste un week-end devant soi? Il faut juste changer d’attitude, laisser le hasard faire et vos pas vous guider, ne pas stresser, ne pas vouloir tout voir et tout simplement vivre au rythme de la ville.
La nuit tombe tôt en hiver à Edimbourg et en arrivant le jeudi, il ne me reste que quelques heures pour me promener au soleil couchant. Je suis hébergée chez une amie en banlieue et je marche donc jusqu’au centre-ville, apercevant Arthur’s Seat (qu’une fois de plus, je ne pourrais escalader à cause de mon dos), la mer et Calton Hill. Je me promène dans un cimetière, je respire le grand air et au loin, j’aperçois quelques traces de neige sur les collines. Sur les hauteurs de la ville, je peux voir la mer, les collines et montagnes au loin, l’Ecosse et ses étendues sauvages qui m’appellent.
Le soleil se couche sur le centre-ville, d’une lumière magique, majestueuse, mystérieuse, propre à l’hiver et je rentre passer du temps avec mon amie.
Le lendemain, le soleil brille, le ciel est bleu et les pavés m’appellent. Je décide de longer la rivière Leith, mais une grande partie est coupée et je me retrouve à errer au hasard des rues de la banlieue, à tenter de rattraper la rivière. Ce que j’aime à Edimbourg, c’est que même les banlieues sont belles et méritent une promenade. Des bâtiments historiques, des églises, des ruelles, des immeubles, des parcs, des cheminées… les façades d’Edimbourg sont sombres, mais de toute beauté. Et surtout, elles savent refléter la lumière de l’hiver.
Arrivée à Stockhbridge, un quartier très vivant à découvrir pour ses petites boutiques, ses jolies façades et ses parcs, je me dirige vers le Parc Inverleith. Sur les conseils de mon amie, je découvre une superbe vue sur Edimbourg, Arthur’s Seat et son château. Les toits et les cheminées, l’architecture et les monts se découpent en contre-jour face à moi. Comme à Londres, il est possible de prendre de la hauteur de tant de manières différentes: Arthur’s Seat bien sûr, Calton Hill pour l’un de plus connus et le parc Inverleith également pour un endroit plus paisible et moins assailli de touristes.
Après un déjeuner végé délicieux à Hamilton’s, je longe à nouveau la rivière et me retrouve dans un océan de verdure et de bâtiments historiques. A deux pas de Stockbridge, c’est un autre monde que l’on découvre. Je n’entends plus les bruits de voiture ou de la ville et je suis entourée de verdure et de la rivière. Au-dessus de moi, de vieilles bâtisses, un viaduc, les oiseaux et le ciel bleu.
Quelques pas plus loin, je débarque à Dean Village. Dean Village est un véritable village au coeur d’Edimbourg. Très peu de touristes semblent arriver jusque-là et la tranquillité n’est brisée que par quelques promeneurs. C’est un lieu vraiment incroyable et à part, à ne pas manquer lors de votre passage à Edimbourg. Si la rivière n’est pas coupée, continuez la balade sur ses berges, cela doit être superbe.
Pour ma part, la rivière était barrée et je suis remontée vers le West End. 16h et le soleil se couchait déjà. Je voulais profiter de la belle lumière du soleil couchant pour photographier le centre-ville et son architecture remarquable.
J’ai tendance à oublier les sensations, les odeurs, les sons… à mon grand malheur, ma mémoire n’est pas sensorielle, elle est pratico-pratique, factuelle. Je peux me souvenir du prix d’un café, du numéro d’un bus, d’où se trouvent les toilettes dans un aéroport et des dates, mêmes des années après. Par contre, c’est à l’aide de mes photos et de mes textes, que je peux me replonger dans une ambiance. Ou bien en la vivant à nouveau. Et c’est là, en marchant vers le centre-ville, que je me suis souvenue de la particularité d’Edimbourg, une ville d’ombres et de lumière. La lumière d’hiver est magnifique à Edimbourg, mais de par sa structure, son architecture et son organisation, l’ombre s’installe dans les rues et les ruelles au fur et à mesure que le soleil tourne. Si le matin il fait grand soleil à Dean Village, l’après-midi il faudra aller le chercher ailleurs. Le soleil court sur les façades, joue à cache-cache, les ombres prenant le dessus dans un joli ballet incessant.
Edimbourg est un terrain de jeu pour l’oeil et pour le photographe. Les cheminées, les toits et les tourelles se découpent sur le ciel bleu. Les couchers de soleil inondent de chaleur et de couleurs sanguines les murs. Les ombres dansent et virevoltent sur les fenêtres et les portes, sur les collines et les allées. Mes yeux se régalent du spectacle, mais je ne me suis jamais sentie aussi piètre photographe qu’à Edimbourg. Je rêverais de savoir capturer ces instants, mais ce que j’aperçois disparaît en quelques minutes, en quelques secondes et mes clichés sont un mauvais reflet de la réalité. Si je ne sais attraper l’atmosphère de la ville dans mon objectif, j’essaye de la saisir dans mon coeur et de développer cette mémoire sensorielle qui me manque tant.
Pas à pas, j’avance, je suis le soleil et je le poursuis dans sa course, tentant d’aller plus vite que lui. Au château, la vue est imprenable et les couleurs se mélangent au lointain. Déjà il se couche, et j’ai l’impression de ne pas avoir eu le temps d’aller où je voulais. Edimbourg s’explore à pied, lentement, en ouvrant grand les yeux et le coeur.
Le lendemain, il pleut et je vais de musée en musée. Le surlendemain, c’est un dimanche ensoleillé qui salue mon dernier jour et je me promène avec mes amis, à Leith, une banlieue qui mérite d’être découverte. D’abord les Docks et ses reflets, puis nous marchons le long des parcs et de la plage, jusqu’à la station balnéaire de Portobello.
La vue sur les alentours et la mer est à couper le souffle. Quelques étoiles de mer échouées m’attristent. Je repense à ces quelques jours passés à Edimbourg. Si ce n’est pour la météo, Edimbourg est un peu ma ville idéale, qui remplit tous les critères. A taille humaine, avec des gens adorables qui vous saluent dans la rue, beaucoup de choses à faire, une nature accessible en ville, mais aussi à l’extérieur, un aéroport pour partir voyager, des cafés cozy pour écrire un roman… et si, je venais vivre à Edimbourg? C’est le coeur serré que je repars le lendemain, toutefois convaincue que je reviendrai, et même peut-être cette année! Si l’Irlande du Nord a chaviré mon coeur l’année dernière, l’Ecosse a décidé de m’en voler un petit bout cette année!
Que faire et que visiter à Edimbourg en cas de pluie?
Quoi il pleut à Edimbourg? Oui, parfois, même si je n’en ai pas une très grande expérience, aussi surprenant que cela puisse paraître!
L’avantage de faire des city-trips en hiver dans ce type de ville, c’est que même s’il pleut ou qu’il fait trop mauvais, il y a toujours quelque chose à faire. Lors de ma journée pluvieuse, je me suis d’abord rendue au Writer’s Museum. J’avais dans l’idée de venir voir un manuscrit de Harry Potter, mais il s’avère qu’il était en exposition à Londres à la British Library. Vraiment pas de bol! Malgré tout, le musée est gratuit et vous y découvrirez des manuscrits et des objets intéressants, des bouts d’histoire et d’anecdotes, et même les chaussons et une mèche de cheveux de Sir Walter Scott. Que demander de plus? Une visite guidée d’Edimbourg sur la thématique des écrivains est organisée quotidiennement, donc n’hésitez pas à y participer.
Après cette visite, j’avais besoin d’un peu de réconfort et de manger. Direction Checkpoint pour le déjeuner/brunch. L’environnement est vraiment super, la nourriture est délicieuse (testez absolument les frites d’haloumi et le cookie maison…) et si vous cherchez de la slow food, c’est le paradis. J’ai dû passer deux heures dans ce lieu, alors que j’étais seule: c’est vraiment hyper lent, mais ça en vaut le détour. Et par un samedi pluvieux, quoi de mieux à faire que d’écrire des cartes postales, de savourer de la bonne nourriture et de lire Harry Potter?
Juste à côté, se trouve le National Museum of Scotland. Une fois encore, je m’y rendais pour un jeu d’échecs liés à Harry Potter, mais j’ai fait chou blanc, puisqu’il était aussi en expo à Londres! Une bonne raison de revenir, non? Le musée est gratuit, très grand et il y en a pour tous les goûts. Il me fait vraiment penser au Victoria and Albert Museum à Londres. Il y avait du monde en ce samedi pluvieux, mais j’ai tout de même apprécié la visite.
S’il pleut, c’est aussi le moment de faire du shopping et d’aller visiter les charity shops, pour faire de belles trouvailles, mais c’est évidemment aussi le temps de découvrir les cafés et les pubs d’Edinburgh. Il y a de quoi faire, alors faites-vous plaisir!
Que visiter sur les traces d’Harry Potter à Edimbourg ?
Si la frénésie Harry Potter était bien moindre en 2012 (surprenamment d’ailleurs), il serait difficile d’y passer à côté aujourd’hui. J’étais fan, fan, fan absolue et même si aujourd’hui, cela ne fait plus autant partie de ma vie qu’avant, c’est toujours un plaisir de se replonger dans l’ambiance des livres de J.K. Rowling et Edimbourg est l’endroit parfait.
Difficile de ne pas s’imaginer dans l’univers d’Harry Potter en parcourant les rues du centre-ville. De par son architecture et son ambiance, on se croirait vivre dans un livre en permanence; Harry Potter ou non d’ailleurs… C’est un lieu très inspirant de par sa beauté pour les aspirants écrivains d’ailleurs et je m’y vois bien y écrire mon prochain livre, dans l’ombre des plus grands.
Pour visiter Edimbourg sur les traces d’Harry Potter, voici quelques visites et lieux à ne pas manquer:
- Le Writer’s Museum pour y découvrir un exemplaire unique de Harry Potter à l’école des sorciers, annoté et illustré par J.K. Rowling.
- Le National Museum of Scotland pour voir les échecs de Lewis, des figurines de jeu d’échecs datant du XIIe siècle, qui auraient pu servir d’inspiration aux échecs sorciers, auxquels jouent Ron et Harry dans le tout premier volume de la saga.
- L’hôtel Balmoral et la suite 552, que vous pouvez réserver, dans laquelle J.K. Rowling a terminé le volume 7 de la saga Harry Potter. Vous y trouverez même un petit mot de l’auteur!
- Les empreintes de mains de J.K Rowling sur le sol au niveau des City Chambers sur le Royal Mile.
- Le quartier Potterow Port autour de l’Université d’Edimbourg, pour son nom… à vous de faire vos hypothèses!
- La George Heriot’s School, un ancien pensionnat pour garçons, aujourd’hui école d’élite, dont J.K Rowling se serait inspirée pour écrire le premier volume.
- Le cimetière de Greyfriars, où vous pourrez trouver la tombe de Tom Riddle, mais aussi d’autres noms inspirants comme McGonagall, Moodie, Sirius Black, Potter et bien d’autres. A vous de vous lancer à la chasse aux tombes!
- Les rues de la vieille ville font penser à des lieux connus de Harry Potter. Victoria Street aurait soit disant inspirer le Chemin de Traverse. Ou bien serait-ce plutôt Candlemaker Row? A vous de décider! Vous verrez, dans Victoria Street, les boutiques capitaliser sur le succès d’Harry Potter. Vérité ou légende, c’est bien là la magie…
- The Elephant House, un café très célèbre de la ville, qui est le lieu de naissance d’Harry Potter. Pas cher, bon, c’est néanmoins bondé ces temps-ci. Le succès marketing de ces dernières années a un peu dénaturé les lieux, et je ne m’y verrais pas trop écrire, malgré la sublime vue sur le château, le cimetière de Greyfriars et l’école mentionnée plus haut, qui ont tous inspirés l’autrice. N’oubliez pas toutefois de vous rendre dans les toilettes… une surprise attend les fans!
- Le Café Spoon, anciennement Nicholson’s est super cosy. J.K Rowling y a également écrit et un peu moins touristique, je m’y verrais bien écrire!
Nastasya vous parle des lieux de tournage des films Harry Potter par ici
D’autres bonnes adresses à Edimbourg
Quelques bonnes adresses en plus (végé ou non) à ne pas manquer si vous passez par Edimbourg:
- Nobles est un superbe pub à Leith pour passer une bonne soirée entre amis, boire quelques bières et surtout savourer un très bon burger au haggis végétarien!
- The Hideout Café, toujours à Leith pour un café, un brunch ou un smoothie
- The Skylark à Portobello, pour un brunch, un café et un croque-madame végétarien à tomber!!!
N’oubliez pas de goûter la boisson nationale, l’Irn Bru (beurk!) et un deep-fried mars bar. Je ne m’y suis pas encore risquée pour ce dernier, mais ça viendra. En tout, j’aime tout autant le haggis végétarien, que le vrai, donc faites-vous plaisir!
Où dormir à Edimbourg?
Entre le Couchsurfing et mon amie, je n’ai pas eu l’occasion de tester de logements à Edimbourg.
Toutefois, j’ai entendu beaucoup de bien de l’auberge de jeunesse The Baxter qui a l’air d’être un très joli endroit. Pour découvrir d’autres hébergements à Edimbourg, c’est par ici!
Informations pratiques pour visiter Edimbourg
Il est possible de se rendre à Edimbourg en bus National Express, en train à très bon prix avec Virgin Trains ou bien en avion. L’aéroport est très bien desservi, notamment par Easyjet. Cliquez sur le lien suivant pour trouver votre billet d’avion pas cher pour visiter l’Ecosse ou sinon découvrez tous mes trucs et astuces pour trouver votre billet d’avion à petit prix.
L’aéroport est tout à fait accessible en transports en commun. Il y a même des bus qui circulent toute la nuit depuis le centre-ville pour votre vol matinal. Si comme moi, vous n’êtes pas au centre-ville, pensez à l’application City Cabs ou à Uber (je vous offre 10 euros sur votre première course Uber avec le code vvagabondages).
Pensez à avoir la monnaie pour prendre le bus (1,60 pounds pour un trajet normal).
- Le guide Edimbourg, l’essentiel écrit par Sophie de Ooh my world
D’autres voyages en Ecosse
C’était mon quatrième court voyage en Ecosse. Depuis, je me suis installée à Édimbourg depuis 2020 et ai eu l’opportunité d’un peux explorer les alentours. Découvrez mes autres carnets de voyage en Ecosse pour plus d’inspiration et de conseils pratiques:
- Mes récits de voyage à la découverte de la ville de Glasgow
- Mon carnet de voyage à Edimbourg en 2010
- J’ai passé une semaine de vacances dans les îles Orcades au Nord de l’Ecosse, un lieu magique: Magiques et mystérieuses Orcades, Le jour où je me suis faite attaquée par un oiseau arctique, Auto-stop, brouillard et plages de sable blanc, Que faire et que visiter dans les îles Orcades?, Les îles Orcades en pratique.
- Un voyage intuitif dans les Highlands en Écosse
- Bilan 2020: Immigrer en Écosse en pleine pandémie et avant le Brexit
Edimbourg est un excellent point de départ pour un road-trip en Ecosse (mon prochain rêve de voyage écossais), mais pensez à ne pas négliger la capitale écossaise, qui mérite bien trois ou quatre jours de visite, entre nature, gastronomie et culture. Cela a été un de mes plus gros coups de coeur de ce début d’année et j’espère y retourner longuement bientôt!
Vivre à Édimbourg en Écosse
Petit message de Lucie en 2024:
Je vis désormais à Édimbourg depuis quatre ans, depuis mon déménagement en 2020 et ma reprise de la vie sédentaire. C’est un choix complètement intuitif qui m’a emmenée par ici et qui m’a guidée au bon endroit au bon moment. Je connais la ville presque par coeur et de fond en comble, en toutes saisons, pendant et après la pandémie, mais malheureusement, je ne prends plus le temps d’écrire des guides pratiques sur mes voyages, préférant me concentrer sur d’autres projets et l’écriture de livres.
Toutefois, si vous avez envie d’Écosse et d’Édimbourg différemment, elles sont l’arrière-plan de mon premier livre L’Envol, un mémoire intuitif, poétique et spirituel qui raconte la guérison, la sédentarité après le nomadisme et le burnout. Je vous laisse le découvrir et vous laisser enivrer par la douce ambiance de la nature écossaise et de la ville.
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